C’est très classe, et il a beaucoup de chansons qui sonnent comme des classiques. Ce disque me rappelle beaucoup l’époque où j’ai vécu à Stockholm, en 2010; j’écoutais ce disque en boucle.

C’est mon côté guitare ça; c’est Adrien qui jouait les claviers dans Eldia qui m’a fait découvrir le premier album, produit à l’époque par le grand Edwyn Collins. Ils auraient été number one en 1967.

Mon dernier coup de foudre… nous avons ouvert pour eux avec Eldia et ça reste mon meilleur souvenir. Leur concert était génial, eux étaient très gentils, et on a bien rigolé jusqu’au matin. J’ai très hâte qu’ils reviennent en France pour leur nouvel album.

Quand ils sont passé à Rock En Seine, j’étais comme un connard en train de boire des coups dans l’espace pro. Je voulais absolument les voir mais je n’ai pas vu le temps passer. Maintenant le groupe a splitté et je ne les aurais jamais vu ! Comme un connard !

Bizarrement, ce vinyle était dans la collection de mon père, qui n’a jamais été un fondu de jazz moderne. (Il est plutôt British Boom, Brel, Brassens,…) Je ne l’ai pas aimé la première fois que je l’ai écouté mais aussitôt les deux faces passées, j’ai voulu le remettre. Ce disque a directement influencé le titre « Let it go » qui est sur mon ep « Ah-leu-cha », et énormément mon jeu de guitare.

Quel génie ce Kevin. Avec Marc, qui joue la basse chez Franz, on est totalement fan de ce titre, et surtout du moment hip hop où la batterie cut sur le refrain. On la mime à chaque fois ! J’ai hâte d’entendre le nouvel album.

On a eu la chance d’ouvrir pour lui en juin dernier avec Franz; c’est bien la seule et unique fois que j’aurais pris une photo avec un de mes chanteur préféré. Les autres se sont bien foutu de moi d’ailleurs !

Quel album parfait, quelle production géniale… Je les ai découvert en première partie de Interpol (pour Turn On the Bright Light). J’avais trouvé Interpol tellement naze mais j’étais complètement interloqué par ce groupe Texan habillé tout en noir, jouant cette espèce de pop kraut et soul en même temps. Je suis allé pendant 4 mois à la Fnac St Lazare harceler le vendeur pour savoir quand sortait leur album en France. Au bout d’un moment, Gimme Fiction est sorti et quelque années plus tard, nous avons ouvert pour eux avec Eldia, a l’Elysée Montmartre.

J’aimais bien The Cardigans mais sans plus quand j’ai acheté le premier album de A Camp, que je trouve bien supérieur en terme de songwritting. C’est léger et super classe; très catchy. Et en plus comme disent les jeunes, Nina Persson est soin.

Un très grand songwritter, à l’ancienne. Je l’ai rencontré à l’occasion d’une ITW pour Voxpop (le meilleur magazine du monde), il jouait le soir à la flèche d’or devant 10 personnes; le concert était super et il m’a donné des tricks de placement de micro sur la batterie après. Il joue avec The Shins en ce moment.