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by DigitalHunter
DigitalHunter
9:12 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
DigitalHunter 12 years ago
Le mélange de disco et de reggae de cette reprise évoque les années Palace, période d’insouciance, de rencontres, de nonchalance, d’hédonisme. Mais on pressent déjà dans cette ritournelle la nostalgie de cette période heureuse.
9:11 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Les années disco, encore. Avec ce titre qui est le titre international de notre série documentaire, Amanda Lear évoque le côté glamour du monde de la mode qui s’impose alors à l’époque. Un “pack” qui voyage en Concorde, foule les tapis rouges, et se retrouve au Studio 54 de New York comme au Palace de Paris.
9:10 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Deuxième extrait de l’album Scary Monsters (and Super Creeps) après le grandiose Ashes to ashes. Pour ces deux titres, deux clips majeurs qui contribuèrent à donner ses lettres de noblesse à ce genre nouveau. Sur le fond, Bowie n’hésite pas à ironiser sur le monde de la mode (certaines interprétations de la chanson y lisant même une dénonciation du “fascisme” inhérent à ce petit milieu). Sans aller jusque là, on peut retenir une certaine ironie, qu’on peut aussi retrouver dans le point d’exclamation qui accompagne le titre de notre série.
Les créateurs de mode sont devenus des icônes médiatiques. Le styliste français le plus connu à la fin des années 80 est sans nul doute Jean-Paul Gaultier dont on voit partout la brosse peroxydée, la marinière rayée et l’humour rafraichissant. En pleine déferlante house, il sortira même ce titre dont la vidéo signée Jean-Baptiste Mondino reste une madeleine absolue de l’époque.
9:09 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Linda Evangelista, Nadja Auermann, Tyra Banks, Emma Sjöberg, Estelle Lefebure… Les plus grands top models de l’époque se retrouvent sous la caméra de Thierry Mugler pour le clip de ce titre emblématique de George Michael. Choc des égos : Mugler et Michael ne se mirent jamais d’accord sur le montage final. Il existe donc deux versions du clip. Et le titre reste le chant du cygne de l’exhubérance décomplexée des eighties.
9:07 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Le monde et la mode ont changé. A l’insouciance joyeuse des années 80 a succédé dans les années 90 une atonie beaucoup plus sombre. Le sida, la guerre du Golfe et la crise sont passés par là… Sur les podiums, les silhouettes des créateurs Rei Kawakubo (Comme des Garçons), Yohji Yamamoto, Martin Margiela ou Ann Demeulemeester deviennent noires comme celle de la chanteuse Shara Nelson déambulant dans les rues de Los Angeles. Titre emblématique du trip hop.
Les années antifashion sont aussi les années grunge. Fini la mégalomanie eighties où l’on se rêvait plus beau que soi. Au contraire, dans les nineties, on se regarde sans complaisance dans le miroir, allant même jusqu’à se traiter de pauvre type.
9:06 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Le bling bling a envahi le hip hop comme il a envahi la mode. Dans les clips de rap, les filles jouent du “booty” comme les mannequins de Tom Ford à qui il demande de montrer leurs fesses pour illustrer son porno chic. Même John Galliano de la très vénérable maison Dior fera de rappeuses comme Lil Kim son égérie et Pharrell Williams pointera chez Louis Vuitton.
9:05 - 16 Oct 2012 · Via YouTube
Ce titre contemporain évoque le son eighties d’un Etienne Daho. Façon de dire que la musique – comme la mode - est un éternel recommencement. Et d’imaginer que si la création semble saturée par la mondialisation et le fonctionnement des grands groupes de luxe, on peut quand même avoir l’espoir d’un renouveau par de jeunes créateurs.
Parce que la mode, pour les créateurs qu’on retrouve dans Fashion !, c’était un rêve d’enfant. Un rêve devenu réalité. Avec succès. Sauf que les paradis peuvent se perdre. Où l’on pense forcément à Claude Montana ou à John Galliano.
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